Dans le domaine de la physiologie, le métabolisme cellulaire est la totalité des changements biochimiques s’effectuant directement dans une cellule. Savez-vous qu’il s’agit également d’un véritable allié minceur ?
Qu’est-ce que le métabolisme cellulaire ?
Les cellules s’apparentent à de véritables petites usines où de multiples et variées réactions chimiques se produisent. Il y a fabrication de molécules et dégradation d’autres.
Ces différentes transformations (réactions chimiques) offrent la possibilité à ces êtres vivants de se reproduire et de croître. Cela se nomme métabolisme. Il y a deux grands genres de métabolismes chez les êtres vivants. Il s’agit de l’hétérotrophie et l’autotrophie.
Quels sont les principaux types de métabolismes cellulaires ?
Voici les deux processus de métabolismes cellulaires.
Hétérotrophie
L’hétérotrophie se caractérise par la conception de molécules organiques via d’autres molécules organiques dont le prélèvement a été effectué dans l’environnement (alimentation). Les molécules du début peuvent également avoir été conçues par la cellule au préalable.
Voici le métabolisme des cellules animales, végétales non chlorophylliennes, de champignons, des protozoaires (et de bactéries spécifiques).
L’hétérotrophie correspond à ce qu’on appelle la respiration cellulaire. Cette dernière a lieu dans les mitochondries et offre la possibilité aux cellules de concevoir l’énergie nécessaire pour la synthétisation des molécules organiques. Le phénomène de la respiration cellulaire est lié à celui de l’élimination de molécules de glucose via le dioxygène.
À part la conception d’énergie, elle parvient également à la formation de molécules de dioxyde de carbone ainsi que de molécules d’eau.
Autotrophie
Voici le second type de métabolisme cellulaire. L’autotrophie s’apparente au métabolisme des cellules végétales chlorophylliennes (et de bactéries spécifiques). Elle se caractérise par la conception de molécules organiques via seulement des éléments minéraux minéraux, dont le prélèvement a été effectué dans l’environnement (eau et sels minéraux de planète ; dioxyde de carbone dans l’air). L’autotrophie est mêlée à l’action de photosynthèse qui s’effectue au niveau des chloroplastes.
La photosynthèse offre la possibilité aux cellules chlorophylliennes de concevoir de l’amidon via du dioxyde de carbone dont le prélèvement a été effectué dans l’air grâce à des feuilles et de molécules d’eau prises dans le sol. Ce phénomène de synthèse amène la conception d’oxygène. Cette action demande beaucoup d’énergie. Enfin, sachez que les cellules chlorophylliennes se servent de la lumière (soleil).
Quel est le rôle du métabolisme cellulaire dans la perte de poids ?
Quand le taux de calories via l’alimentation se situe au-delà de la valeur du métabolisme (pourcentage de calories dépensées), ce qu’il y a en plus forme des graisses. Ainsi, si vous désirez rester mince, voire faire fondre vos graisses, dénicher l’équilibre optimal est nécessaire, soit en baissant les calories ingérées soit en haussant son métabolisme, soit en effectuant les deux actions simultanément. Optimiser votre métabolisme, c’est agrandir vos dépenses énergétiques : consommer plus de calories.
Le sport et une alimentation ciblée permettent d’optimiser le métabolisme
Une activité physique améliore de façon naturelle le métabolisme : afin d’assouvir vos besoins, le corps utilise ses réserves afin de nourrir les cellules musculaires. Cela se nomme le catabolisme. Le sport, sur une durée plus longue, permet d’optimiser aussi le métabolisme de base.
Manger n’offre pas seulement des calories. En effet, le phénomène de digestion possède un coût énergétique plus ou moins conséquent en fonction des aliments ingérés. Découvrez les aspects dont il faut tenir compte pour augmenter de façon efficace son métabolisme grâce à l’alimentation.
Perte des graisses au repos !
Optimiser son métabolisme basique consiste à consommer plus de calories au repos sans effectuer aucune activité. Le simple fait de dormir est suffisant. Savez-vous que c’est au repos que l’organisme consomme le plus de graisses par rapport aux substrats dégradés ? Une hausse de 1 % de sa valeur offrirait la possibilité de dépenser, en fonction d’éléments tels que l’âge, le poids et le sexe, entre dix et vingt kilocalories de plus journellement, ce qui correspond à 3600 à 7300 kilocalories ou encore 350 à 700 grammes de graisse annuellement !
- Techniques pour optimiser votre métabolisme
- Il est possible d’optimiser votre métabolisme en effectuant ce qui suit :
- Bouleverser vos habitudes alimentaires ;
- Choisir une activité sportive spécifique et vous correspondant ;
- Être attentif à votre mode de vie.
Gardez à l’esprit que sport et régime ne vont pas toujours bien ensemble. Pensez à vous tourner vers un spécialiste pour profiter de conseils avisés.
Je mange : je mincis !

Manger peu dans le but de baisser le nombre de calories ingérées est une bonne idée mais se révèle être insuffisant dans le but de perdre des graisses. En effet, le corps sait s’adapter. Ainsi, l’organisme parvient à modifier son métabolisme. On peut dire qu’il s’économise. Par conséquent, vous perdrez plusieurs kilos à partir des premières semaines de régime. Néanmoins, cela deviendra plus compliqué par la suite. En outre, les kilos perdus reviendront rapidement quand vous ne vous priverez plus, le corps procédant au stockage des calories en plus dont il était parvenu à se priver jusqu’à maintenant.
Certains aliments sont à favoriser
La dégradation de certains aliments est plus difficile que d’autres. On pense notamment aux glucides complexes (farines, etc.) ainsi qu’aux protéines. Notre organisme consomme plus d’énergie par rapport à la digestion de ce genre d’aliments. Encore plus que pour les lipides. Ces derniers présentent la spécificité d’être simples par rapport à leur structure. Le stockage se fait quasiment tel quel. Par conséquent, la valeur énergétique unique d’un aliment doit être prise prudemment car finalement, le nombre de calories stockées est lié au genre d’aliment. Ainsi, un steak de cent kilocalories fera moins prendre de poids qu’une part de beurre de cent kilocalories puisque le corps dépendra nettement plus à stocker la viande qu’à procéder à l’assimilation des lipides offertes par le beurre.
Le taux d’énergie utilisé afin de stocker les nutriments sont les voici :
- 18 à 25 % pour les protéines ;
- 4 à 7 % pour les protéines ;
- 2 à 4 % pour les lipides.
Le corps consomme 18 à 25 kilocalories pour digérer cent kilocalories de viande maigre. Cette énergie se retrouve principalement en tant que chaleur. Pour ce qui est des 70 à 80 kilocalories restants, elles sont stockées ou utilisées pour un fonctionnement optimal de l’organisme. Il faut savoir qu’il n’y a que deux à quatre kilocalories qui sont consommées par rapport à la digestion de cent kilocalories de lipides.
Mangez plus régulièrement !
Oui, cela est vrai ! Il faut manger plus souvent. On ne parle pas ici de quantité mais bel et bien de régularité. En optimisant la récurrence de vos repas, vous allez profiter d’une répartition plus équitable des calories consommées. Ainsi, cela offre une bien meilleure thermogenèse. Effectuez la planification de quatre à cinq repas journaliers à heure fixe en les disposant, entre les différents repas, un à deux breaks où vous consommerez des protéines maigres (viande de la mer, jambon maigre ou encore produit laitier) ou des glucides complexes (céréales à grains entiers et surtout fruits). La principale règle à respecter est que votre estomac ne doit pas être vide puisque cela a un impact sur le métabolisme en le ralentissant.
Veillez à toujours respecter cette régularité. Le petit déjeuner ne doit jamais être sauté. Il est essentiel pour le corps car il contribue à le « réveiller ». Une de ses autres spécificités majeures est de relancer le métabolisme. Veillez à ne pas vous tourner vers les graisses et privilégiez des glucides complexes, présentant moins de calories mais optimisant la thermogenèse. Nous vous recommandons également de consommer les fibres (céréales, complètes si possible), qui prennent plus de temps durant la phase de digestion, et qui vous offriront la possibilité de tenir sur le plus long terme.
Prenez en compte l’équilibre glucides, protéines, lipides
Même si les protéines optimisent la thermogenèse, veillez surtout à ne pas en abuser. Il est essentiel de manger d’une façon équilibrée en prenant en compte les pourcentages de nutriments que le corps demande pour fonctionner parfaitement. Ainsi, veillez à consommer 30 % de lipides, 55 % de glucides et 15 % de protéines.

Outre les séances de musculation demandant plus de protides, il est vivement conseillé de ne pas aller au-delà de la barre de 0,8 gramme de protides journellement et par kilo, ce qui correspond à 55 grammes pour un individu de 70 kilos ou encore 180 à 280 grammes de viande chaque jour (en prenant comme socle 20 à 30 % de protides dans la viande). Enfin, nous vous recommandons de laisser de côté le gras (porc, saucisse, etc.).